Puissance intégrale, chaleur effective... ou illusoire intellection?

Chers amies et amis,

Le contenu informatif de ce post figure sur 1 schéma, 2 graphiques et 9 planches associées.

Le format disponible dans ces colonnes ne permet en effet pas de rendre compte intelligiblement du détail de nos réflexions autrement que par ce procédé alternatif.

Nous publierons par la suite une autre planche, montrant par la logique que le résonateur Dumas n'est pas un récepteur passif d'énergie.

Le partage, l'expérience et la logique s'assemblent en une arme de construction massive... Qui peut craindre de l'utiliser?

A chacun de tirer des conclusions par ses propres moyens, s'il le souhaite.

Fraternellement,
JF Ricois

L'expérience sous-décrite est facilement reproductible.
Les courbes résumant cette expérience permettent une interprétation iconoclaste des phénomènes constatés sur les 2 courbes ci-jointes au cours d'un test de montée en température d'eau du robinet (voir schéma du montage figure 1), respectivement pour une résistance et pour un résonateur Dumas.

Ne disposant pas de matériel assez performant pour réaliser des mesures énergétiques quantitatives, nous avons du faire appel à des méthodes qualitatives.

Toutefois, l'outil mathématique, langage universel, nous permet de montrer de façon implacable ce que nous avançons, compte-tenu de nos résultats.
En d'autres termes, considérant nos résultats expérimentaux, il n'existe qu'une conclusion logique.

Les courbes mettent en évidence des réponses thermoélectriques fondamentalement différentes au cours du fonctionnement des 2 dispositifs étudiés.
L'incertitude de mesure sur les températures est de moins de 1% et celle sur les mesures d'intensité est de moins de 0,5%.

Ces incertitudes ne peuvent rendre compte des anomalies constatées et détaillées sur nos planches.
Par ailleurs, ces mesures ont été faites à plusieurs reprises et montrent des profils identiques pour des conditions expérimentales identiques.

Les internautes moins portés sur les sciences comprendront ainsi au premier coup d’œil qu'une anomalie survient d'évidence, en comparant les 2 courbes présentées.
Nous remercions dès à présent nos abonnés, dont celui qui nous a fourni une de ces courbes. Les expérimentateurs se reporteront quant à eux à nos précédentes publications à caractère scientifique pour revoir en détail les mises en garde de bon sens.

On met en évidence une anomalie énergétique sous-jacente et certaine, concernant le fonctionnement du résonateur Dumas.
Le lecteur pourra par lui-même vérifier que le même raisonnement aboutit à une absence d'anomalie énergétique concernant une résistance.
Aussi nos critiques de bonne foi devront-ils refaire notre expérience pour éventuellement invalider nos résultats.

Base du raisonnement :

• on part de l'hypothèse que le résonateur Dumas est un récepteur passif d'énergie électrique (car cosφ≥99,5%)
• on en tire les conséquences mathématiques par dérivation et intégration
• on constate une non-concordance entre les données expérimentales et le premier principe de la thermodynamique
• on en déduit qu'une partie de l'énergie produite échappe au bilan énergétique résultant des échanges avec le milieu.

UNE PARTIE DE L'ÉNERGIE ÉCHAPPE AU BILAN ÉNERGÉTIQUE.

Cette énergie permet le maintien de la puissance d'accumulation thermique malgré une diminution de la puissance électrique fournie et en dépit d'une augmentation des pertes dans l'environnement.

Or, comme le résonateur Dumas respecte le principe de la conservation de l'énergie, alors...
... le résonateur Dumas transforme en chaleur de l'énergie potentielle contenue dans le système.

LE RÉSONATEUR DUMAS EST UN GÉNÉRATEUR D'ÉNERGIE.

La question de l'origine de l'énergie potentielle transformée reste à déterminer avec certitude.
Plusieurs éléments détaillés dans nos post depuis avril 2016 suggèrent qu'une partie de cette énergie potentielle est d'origine nucléaire.